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samedi 7 décembre 2013

Achats

Les souks et autres bazars installés à proximité des hôtels ne proposent pas forcément que des produits d'origine tunisienne, loin de là. Ne pas hésiter à négocier.
L’artisanat tunisien est assez varié. Il faut dire que la confection de bijoux, poteries, textiles, cuirs, vannerie et tapis occupe toujours une part importante de la population.- Les bijoux : à l'origine, ils ont vocation à éloigner le mauvais œil, comme la main de Fatma. Il faut distinguer le travail de l'or de celui de l'argent. Les grands centres de production sont Tunis, Sfax et Djerba. L'or est moins cher qu'en Europe. Veillez toutefois à vérifier le poinçon.
- Les tapis : on les distingue selon la hauteur de leur poil, la provenance, la technique de tissage, les motifs, etc. Grosso modo, deux grands groupes : leszerbia, tapis à points noués, et les mergoum, tapis tissés mêlant, parfois, des motifs à points noués. La douane française prélève une TVA de 19,6 % sur les tapis si le coût exède 175 €. Demander une facture. - La poterie : si Nabeul reste la capitale de la céramique, ses produits ont envahi tous les souks de Tunisie. De Bizerte à Douz, les mêmes teintes, les mêmes formes garnissent les étals. L'offre considérable garantit des prix attractifs, mais la qualité reste médiocre. - Le cuir : des petits artisans continuent à faire des sacs, des babouches, des ceintures, des coussins, des poufs, des coffrets et autres portefeuilles. - Le cuivre : il y a sur les souks de quoi équiper toute une cuisine : plats, bassines, casseroles, couscoussiers, vases, services à thé, cafetières... Les médinas de Tunis et de Kairouan sont les mieux approvisionnées.

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